informations

● DATE DE PARUTION : 2002
   ● NOMBRE DE PAGES : 125 pages
   ● ÉDITION DE TON LIVRE : J'ai lu
   ● QUATRIÈME DE COUVERTURE : " Tristan la regardait dormir, et bien qu'elle ne pût l'entendre, il lui dit à l'oreille qu'il l'aimait sans trop savoir ce que cela voulait dire. Sans savoir qu'il venait de tomber dans un piège définitif, le piège de l'attendrissement,
et qu'il était ridicule, d'un ridicule sans rémission. "
Attendrissement, tromperies, jalousie, attente, méchanceté, dépendance, espérance, peur de l'abandon, inquiétude, prise de pouvoir sur l'autre et mise à mort... C'est tout ce " n'importe quoi " auquel les élans du cœur nous poussent. C'est aussi l'histoire d'Amélie, qui aime Tristan, qui aime toutes les femmes.
Voici le spectacle à la fois évanescent et cruel de tout ce que la passion tisse de promesses intenables, d'instabilité sentimentale et d'impossible rupture.
   ● Y A-T-IL UNE SUITE ? Non.
   

   

   © aurélie

   

Ton avis

● LE LIVRE EN UN MOT : Cliché.
   ● UNE NOTE SUR 10 : 6/10
   ● TON AVIS : Une histoire d'amour torturée, pleine d'hypocrisie, de mensonges, de lâcheté. Tout ce qu'on n'a pas envie de vivre. La plupart du roman est placé sous le point de vue de Tristan, un être égoïste, lâche, insupportable. Il ne sait pas vraiment qui il est selon lui, mais cela semble plutôt être son excuse principale à ses conneries. Et que dire d'Amélie, cette pauvre fille présentée comme un être faible, incapable de prendre sa vie de femme en main, trop occupée à subir. Franchement, si c'est ça l'image de l'amour à notre époque, je n'en veux pas. J'ai pris du plaisir à lire la prose de Zeller mais uniquement ça. L'histoire en elle-même ne présente aucun intérêt. La fin n'est pas une conclusion selon moi. On a plutôt l'impression d'être face à un écrit couché là sans travail supplémentaire côté trame. L'écriture est agréable mais cela s'arrête là. Les fans du genre apprécieront peut-être mais, personnellement, ce n'est pas ma came. Marre de ces romans où le personnage masculin est un connard et où la figurine féminine est une petite chose qui subit.
   ● À QUI LE CONSEILLES-TU ? A ceux qui ne sont pas rebutés par les histoires du genre uniquement.

   

Hahaha, ça ne donne pas vraiment envie de le lire... (Surtout que je te suis à 100% sur ton "marre de ces romans où le personnage masculin est un connard et où la figurine féminine est une petite chose qui subit"!)

Heureusement, il avait l'air d'être court, au moins tu n'as pas souffert trop longtemps! :')

Mais du coup ton post me donne une idée... Je vais voir si je trouve où la proposer tiens... ^^